Actualités

Depuis quelques années, IDEA s’est inscrite comme un acteur clé aux côtés des entreprises du Cœur du Hainaut dans une dynamique d’économie circulaire. Consciente des enjeux liés à la transition économique et écologique et mue par une volonté d’agir, différents projets ont d’ores et déjà vu le jour tels que l’éco-zoning de Tertre, la plate-forme donneurs-preneurs de ressources, un accompagnement des entreprises, etc.

En interne, les choses changent également. C’est le constat qui peut être tenu au sein de l’Intercommunale de Développement Économique et d’Aménagement du Cœur du Hainaut. Conscient des enjeux environnementaux actuels et particulièrement au regard de la pollution provoquée par l’usage incontrôlé de produits plastiques, IDEA a décidé de réduire de manière significative sa consommation de plastiques en commençant par la suppression des bouteilles en PET de 50 cl mis à disposition des agents et visiteurs dans ses salles de réunions sur ses sites au profit de fontaines à eau.

Ce changement a des impacts économiques et écologiques. En effet, la création d’une bouteille en plastique d’1 l nécessite de nombreux produits dont 100 ml de pétrole, 80 g de charbon, 42 l de gaz et 2 l d’eau (https://sciencepost.fr/leau-bouteille-industrie-cree-gachis-nuit-a-sante/) ! Bien que destinés à la filière de recyclage, les déchets produits sont donc conséquents. En termes de bénéfices, ce changement permet à IDEA d’éviter le gaspillage d’eau induit par l’utilisation individuelle et partielle des bouteilles de 50 cl et permet d’éviter également de jeter près de 7.000 déchets de bouteilles à l’année.

Caroline Decamps, Directrice Générale d’IDEA, souhaite, sur base de cet accord volontaire avec le Gouvernement wallon, avoir des projets de développement durable en améliorant la responsabilité sociétale de la structure. « IDEA a tout à gagner à faire partie d’une communauté cohérente et motivée qui, à travers cette collaboration, partage des informations et bonnes pratiques mais qui permettra également de faire remonter des freins au Gouvernement wallon en matière d’économie circulaire ».